Merci à tous (et toutes ?) pour votre accueil.
Ce fut un réel plaisir de découvrir vos messages et vos passions.
Mais j'aimerais apporter d'autres témoignages encore. Car si cette merveilleuse première petite culotte est exceptionnelle, celle-là même que nous n'oublierons jamais, il en existe d'autres qui furent également des premières fois. Je pense à la première petite culotte achetée, la première "empruntée" et jamais rendue, la première avec laquelle je fis l'amour ou encore la première échangée avec un compatriote de passion. Et comme nous sommes entre nous, n'hésitez pas à me demander ce que vous aimeriez que je vous confie dans ces premières fois.
Mais, aujourd'hui, j'ai une tendresse particulière pour cette première petite culotte achetée. Je devais avoir 16 ans et autant d'années de timidité derrière moi. Mais, inéluctablement, ma passion grandissait et les culottes de ma sœur commençait à me lasser. J'avais envie de découvrir autre chose. Le ciel m'entendit et, au détour d'un rayon de grande surface où je cherchais un article de sport, je tombais nez-à-nez avec elle : une magnifique petite culotte bleue à dentelles transparente, faussement sage et authentiquement attirante. Je tombais sous le charme instantanément. Il fallait qu'elle soit mienne. Mais comment faire ? C'était abominable : j'allais devoir affronter la caissière et son regard inquisiteur. Elle allait savoir, c'est sûr ! Elle allait le dire à tout le monde : "ce garçon porte des petites culottes !". Le dilemme était affreux : ne pas affronter cette gardienne de la pudeur signifiait que cette beauté bleue me resterait inconnue mais pour pouvoir la connaître, je devais affronter la honte de ma passion.
Je résolus alors un stratagème que je considérai comme machiavélique : j'allais essayer la belle sans devoir la sortir du magasin. Je me résolus (plusieurs jours plus tard!) à prendre deux pantalons pour aller dans la cabine d'essayage. Ce que la préposée aux cabines ne vit pas c'est que, dans la poche, ma petite culotte bleue m'attendait. Une fois dans la cabine, tremblant de tous mes membres d'être découvert, j'essayais pour la première fois une culotte qui n'était pas à ma sœur. Ce fut atomique ! Je ne la gardais pas longtemps car je crains une preuve de ma "visite" très difficile à dissimuler... Je remis tout en place, comme si de rien n'était (la remise de la culotte sur son cintre ne fut pas une mince affaire !) et ce souvenir hanta mes plaisirs solitaires pendant de nombreuses fois.
Mais rien ne se calma ! C'était pire ! Repenser à cette petite culotte me rendait fou. M'imaginer la porter à ma guise, ou, mieux encore, la porter devant ma copine de l'époque créait immanquablement une manifestation fort visible dans ma silhouette. N'en pouvant plus, je pris mon courage à deux mains, je rentrais dans le magasin, pris virilement le cintre où ma belle m'attendait, me dirigeait avec nonchalance vers la caisse. Là, il se produisit quelque chose que je n'avais pas prévu : la file ! Il y avait une file de plusieurs personnes en attente de payer. Que des filles en plus ! Je gardais mon trésor le plus discrètement possible mais je sentais bien que mes joues devenaient écarlates. Ce fut enfin mon tour, la caissière prit ma petite culotte, la pointa... et rien d'autre ne se passa. J'ai payé et je suis parti. Pas de commentaire. Pas de regard réprobateur. Rien ! Quelle joie ! Cette première expérience fut le début et l'encouragement d'une longue série qui continue encore aujourd'hui pour mon plus grand plaisir. La seule différence est, qu'à l'époque, je croyais être le seul homme sur terre à vouloir porter des petites culottes.
La petite culotte bleue eut une belle histoire que je vous raconterai peut-être une autre fois si cela vous tente.
Et vous, votre premier achat ?